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Pierre Fesquet nous parle de la quête de foi de la chanteuse et de son lien avec sainte Thérèse de Lisieux.
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A l'occasion du soixantième anniversaire de la mort d'E. Piaf, l'auteur interroge les rapports de la Môme à la religion. Evoquant la dévotion de la chanteuse envers Thérèse de Lisieux, qu'elle prie depuis l'enfance, il souligne que ses chansons témoignent d'une quête de foi, de joie et d'amour, et que sa voix pénétrait le coeur des gens d'une manière quasi surnaturelle.
L'avis de Famille Chrétienne : 5/5
"En 1976, j’ai entendu pour la première fois la voix d’Édith Piaf. J’avais 8 ans. C’était au cours d’un récital des Compagnons de la chanson, groupe qu’elle avait lancé… » Voix renversante, immortelle, dont on imagine l’effet sur un enfant. « Des années après sa mort, cette voix façonnée par les faubourgs de Ménilmontant et Pigalle continue de nous bouleverser, envoûtante et mystérieuse », écrit aujourd’hui celui qui est devenu comédien et dramaturge. « Car Piaf ne chantait pas, elle devenait son chant. Une incantation, entre Ciel et Terre […]. Dans les strates de cette voix magique se trouve la foi d’Édith… » À l’occasion du 60e anniversaire de la mort de la chanteuse, Pierre Fesquet, qui a côtoyé les Compagnons de la chanson et rencontré ses derniers amis encore en vie, questionne le rapport de « la Môme » à Dieu et à la spiritualité chrétienne. Sa dévotion profonde à sainte Thérèse de Lisieux est désormais bien connue. La carmélite l’aurait guérie d’une kératite aiguë, à l’âge de 4 ans, au cours d’un curieux pèlerinage organisé par sa grand‑mère paternelle, tenancière d’une maison close en Normandie. Malgré une vie chaotique, et pas toujours exemplaire moralement, Piaf ne lâcha jamais la main de Thérèse. Et garda toujours les yeux vers le Ciel…"
154 pages.
9782706724145
Vendeur | La Procure |
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